Dans ce quatrième épisode de notre mini-série dédiée aux idées reçues sur la migration vers le cloud nous verrons s’il est possible de faire une transition vers le cloud malgré une équipe informatique overbookée.
Grâce au cloud, il est possible de centraliser l’infrastructure nécessaire à un grand nombre d’applications tout en donnant l’accès instantané à n’importe quel utilisateur. Cette centralisation facilite la maintenance de l’infrastructure, par exemple grâce aux outils de supervision.
Avec des logiciels complètement externalisés sur le cloud, l’utilisateur n’a plus besoin d’avoir sur son outil de travail le moindre logiciel : tout est stocké et géré ailleurs, ce qui facilite les dépannages car l’équipe technique n’a plus besoin de se déplacer sur un site pour résoudre les problèmes : un accès distant suffit.
Le cloud repose sur des infrastructures de Datacenter (réseaux, serveurs, personnels de sécurité…) prévus pour tourner 24h/24 et 365j/an et donc moins d’interruption de services et de perte de données signifient moins de temps perdu par l’équipe informatique pour plus de productivité.
À l’inverse d’une infrastructure sur site traditionnelle qui nécessite de prévoir les ressources, commander, livrer et installer du matériel, une infrastructure reposant sur le cloud est beaucoup plus agile et permet au service informatique d’économiser du temps.
De plus, au lieu d’imposer au service IT un nouvel ensemble de compétences, la migration vers le cloud lui permet de se concentrer sur les activités essentielles de l’entreprise.
Migrer vers le cloud permet ainsi de diminuer la charge de travail qui incombe au service informatique au bénéfice de la production des activités de l’entreprise.